Une idée originale
Antoine Debelle, designer engagé et fondateur de Ardvina
« Designer indépendant depuis 2018, j’ai toujours eu la volonté de concevoir des produits et des services durables. On me parle souvent de reconversion, cependant, Ardvina est la continuité de ma vision de designer. »
Qu’est ce qui a animé la création de Ardvina ?
L’idée originale de Ardvina est née en 2019. Après 6 années d’études supérieures à Nantes, je suis retourné vivre au Mans. En tant que grand amoureux de la cuisine, je produisais un certain nombre de déchets alimentaires. Je me suis rendu compte qu’en France il y avait peu d’alternatives aux ordures ménagères ou aux déchetteries pour les biodéchets, en ville comme à la campagne. De même que les politiques locales étaient très différentes même au sein d’un même département. De là, est née l’envie de concevoir des solutions adaptées et en proximité.
Le réemploi dans l’ADN
J’ai grandi à Beaumont Pied de Bœuf, à la campagne, dans le département de la Sarthe (72). Mes parents m‘ont transmis l’habitude de ne pas jeter et de réemployer au maximum à la maison comme au jardin. Ce sont des enseignements que j’opère toujours dans mon quotidien.
Comment est venu le nom Ardvina ?
Ardvina est la déesse gallo-romaine des 4 saisons, de la faune et de la flore de la forêt des Ardennes. Elle correspond parfaitement à l’idée de créer un cycle vertueux et de valoriser les biodéchets.
Ardvina s’adresse tout d’abord aux professionnels
Tous déchets confondus, en France, presque 90% sont produits par les entreprises et majoritairement dans la construction. Le constat est le même pour les biodéchets. Les plus gros volumes viennent de l’industrie agroalimentaire, les métiers de bouches, les fleuristes et également les métiers du jardin. Ardvina s’adresse avant tout aux PME, les industriels ayant déjà des solutions depuis des années.
Et les particuliers dans tous les cas ?
Au 1er janvier 2024, d’après la loi AGEC, les particuliers comme les entreprises devront trier leurs biodéchets à la source. Cependant, ces derniers sont représentés par leur communauté de communes, leur commune ou un syndicat de déchets. Avec Ardvina, j’ai fait le choix de plutôt accompagner les pouvoirs publics pour déployer des solutions globales à grande échelle. Ceci est plus économiquement viable et socialement intéressant que de travailler foyer par foyer.
Une idée originale
Antoine Debelle, designer engagé et fondateur de Ardvina
« Designer indépendant depuis 2018, j’ai toujours eu la volonté de concevoir des produits et des services durables. On me parle souvent de reconversion, cependant, Ardvina est la continuité de ma vision de designer »
Qu’est ce qui a animé la création de Ardvina ?
L’idée originale de Ardvina est née en 2019. Après 6 années d’études supérieures à Nantes, je suis retourné vivre au Mans. En tant que grand amoureux de la cuisine, je produisais un certain nombre de déchets alimentaires. Je me suis rendu compte qu’en France il y avait peu d’alternatives aux ordures ménagères ou aux déchetteries pour les biodéchets, en ville comme à la campagne. De même que les politiques locales étaient très différentes même au sein d’un même département. De là, est née l’envie de concevoir des solutions adaptées et en proximité.
Le réemploi dans l’ADN
J’ai grandi à Beaumont Pied de Bœuf, à la campagne, dans le département de la Sarthe (72). Mes parents m‘ont transmis l’habitude de ne pas jeter et de réemployer au maximum à la maison comme au jardin. Ce sont des enseignements que j’opère toujours dans mon quotidien.
Comment est venu le nom Ardvina ?
Ardvina est la déesse gallo-romaine des 4 saisons, de la faune et de la flore de la forêt des Ardennes. Elle correspond parfaitement à l’idée de créer un cycle vertueux et de valoriser les biodéchets.
Ardvina s’adresse tout d’abord aux professionnels
Tous déchets confondus, en France, presque 90% sont produits par les entreprises et majoritairement dans la construction. Le constat est le même pour les biodéchets. Les plus gros volumes viennent de l’industrie agroalimentaire, les métiers de bouches, les fleuristes et également les métiers du jardin. Ardvina s’adresse avant tout aux PME, les industriels ayant déjà des solutions depuis des années.
Et les particuliers dans tous les cas ?
Au 1er janvier 2024, d’après la loi AGEC, les particuliers comme les entreprises devront trier leurs biodéchets à la source. Cependant, ces derniers sont représentés par leur communauté de communes, leur commune ou un syndicat de déchets. Avec Ardvina, j’ai fait le choix de plutôt accompagner les pouvoirs publics pour déployer des solutions globales à grande échelle. Ceci est plus économiquement viable et socialement intéressant que de travailler foyer par foyer.
Changer les habitudes des entreprises et des collectivités pour des écosystèmes et une agriculture plus durable.
Ardvina – Des solutions sur mesure pour vos biodéchets.
Le partenaire des professionnels dans la gestion des biodéchets.
Nous priorisons la réduction et le réemploi avant le recyclage.
Notre rayon d'action
Nous réalisons l’ensemble de nos prestations
sur le département de la Sarthe.
Nous sommes en mesure de vous conseiller
en France et dans les DROM.
Une culture de l’Économie Circulaire 
Nous n’avons pas vocation à remplacer des solutions locales déjà implantées sur votre territoire. Nous sommes ravis de vous mettre en relation avec vos acteurs locaux et également de vous apporter une complémentarité de service.
Une stratégie économique et écologique
Ardvina assure plus de 80% de ses trajets en ville à vélo : pour se rendre chez nos clients...
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Ardvina assure plus de 80% de ses trajets en ville à vélo : pour se rendre chez nos clients, pour notre logistique interne, et également pour réaliser la collecte des biodéchets.
Le choix du vélo-cargo est un investissement plus lourd au départ, néanmoins, plus économique à long terme, plus agile au quotidien et aussi plus respectueux de l’environnement.
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Travailler avec des partenaires locaux, fiables et réactifs est un leitmotiv. Au-delà de nos...
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Travailler avec des partenaires locaux, fiables et réactifs est un leitmotiv. Au-delà de nos valeurs, c’est une plus-value économique certaine pour un territoire, un gain de temps et d’argent pour toutes les parties prenantes.
Travailler en local c’est aussi limiter l’usage de ressources liées au transport : véhicules, énergies, infrastructures et également les ressources humaines.
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Nous n’automatisons pas l’usage de machines, nous gardons un certain nombre de tâches...
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Nous n’automatisons pas l’usage de machines, nous gardons un certain nombre de tâches manuelles dans nos activités. Pour autant nous mettons un point d’honneur à garantir notre bien-être et notre sécurité. De même pour nos clients.
Nous cherchons chaque jour à améliorer et développer des outils « low tech » moins coûteux, moins gourmand en matériaux, en maintenance et en énergies.
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La démarche Ardvina repose sur l’amélioration continue, pour nous comme pour nos clients...
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La démarche Ardvina repose sur l’amélioration continue, pour nous comme pour nos clients. Nous cherchons quels seront vos prochains petits pas pour réaliser vos desseins efficacement.
Grâce à des objectifs réalisables à court terme, nous optimisons les ressources disponibles pour opérer de grands changements à long terme.
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Collecte à empreinte carbone réduite
« Le collecteurs qui veut collecter le moins possible »
Le modèle économique de Ardvina repose sur l’offre de service et non pas sur le volume de biodéchets valorisés. Ardvina réduit vos déchets et optimise vos ressources et celles de la planète.
« Le collecteurs qui veut collecter le moins possible »
Le modèle économique de Ardvina repose sur l’offre de service et non pas sur le volume de biodéchets valorisés. Ardvina réduit vos déchets et optimise vos ressources et celles de la planète.
